Qu’est-ce qu’une
figure de style ou la rhétorique ?
C’est d’abord une
manière de s’exprimer. Une Figure
modifie le langage ordinaire pour le rendre plus expressif. Il existe des
figures d’analogie, d’animation, de substitution, de pensée, d’opposition, de
construction, de sonorités, d’insistance et d’atténuation (→ lire la
page : les
différents types de figures de style).
La rhétorique :
n.f. : 1. Art de bien parler ; technique de la mise en œuvre des
moyens d’expression (par la composition, les figures de style, etc…) [ ibid.
Dict. Micro Robert].
A vrai dire
la rhétorique (الخطابة أو البلاغة) est une méthode (الطريقة) par laquelle l’écrivain ou le poète envoi un message aux autres
d’une manière implicite ; c’est-à-dire, qu’il ne soit compris que par les
gens qui maitrise (التحكم في) ce type de paroles. Ce types d’écriture était déjà utilisé à
l’époque (عهد) des Latins* et les Grecs*
aussi à l’ère (حقبة) des anciens écrivains comme : Platon*, Sophocle*,
Aristote*, ect … et pour cette raison c’est modifier pour telles raisons
qui touchent les autres, et c’est modifier par le nouveau nom : « Les
Figures de Styles ». Ce qui est devenu plus répandu entre les autres
ères ou plus précisément après d’autres siècles. Voici les figures de styles
les plus utilisées dans le système étatique :
-
La Comparaison (féminin) : c’est une figure de style qui consiste à
comparer deux termes qui ont des points de ressemblances ; c’est-à-dire,
qui ont des points communs. Aussi elle se divise en trois partie : le
comparé*, le comparant* et l’outil de la comparaison*. Dans
la comparaison il y a des outils de la comparaison qui sont comme le
suit :
Exemple : Jean
est comme un lion.
Le comparant : c’est
celui on base la comparaison ; c’est-à-dire, c’est celui qu’on compare par
un autre élément.
L’outil de la comparaison : c’est
le moyen utilisé pour faire la comparaison, aussi c’est par ce moyen qu’on peut
distinguer la comparaison avec d’autres, comme la métaphore.
Le comparant : c’est
l’élément par lequel on fait la comparaison avec le comparé ;
c’est-à-dire, ce dernier doit avoir des points de ressemblance avec le
comparant pour qu’on puisse faire la comparaison.
Brièvement, la comparaison ne prend
plus ce nom en absence de l’un de ses termes, si l’un de ses termes est absent
on pourrait plus dire que c’est une comparaison, à ce moment il lui donne un
autre nom.
Voire le tableau suivant, qui va
détailler les choses :
Le comparé (المشبه) :
************************
|
L’outil de la
comparaison :
|
Le comparant (المشبه
به) :
************************
|
Jean
“
“
|
Comme
Pareille à
En
tant
|
Un lion
“
“
|
-
La Métaphore (féminin) : c’est une figure de style qui consiste à
comparer deux termes qui ont des points communs ; mais, cette fois sans
usage d’outils de la comparaison. Là où il y a la différence entre la
comparaison et la métaphore.
Exemple : Jean
est un lion.
Le comparé (المشبه) :
************************
|
L’outil de la
comparaison :
|
Le comparant (المشبه
به) :
************************
|
Jean
|
Sans outils
de la comparaison
|
Un lion
|
Est dans ce type de comparaison on
distingue deux autres types qui sont :
-
La Litote (féminin) : c’est une figure de style qui
consiste à parle ou dire le moins mais la signification est plus
couteuse ; c’est-à-dire, on dit le moins mais on signifie beaucoup.
Exemple : vas,
je ne te hais point.
-
L’Hyperbole (féminin) : c’est une figure de style qui
consiste à parler trop pour signifier le moins ; c’est-à-dire, on allonge
la parole pour une simple expression.
Exemple : ma
Chère, j’ai le grand plaisir de mettre entre vos gracieuses mains mes
expressions du respect et d’estimation ; ça fait longtemps que je pense à
toi et nulle personne qu’à toi ; et maintenant, j’ose de vous écrire ce
modeste lettre qui va vous porter mes sentiments qui m’animent et mon cœur qui
se brule par votre amour ma Chère. [Tout ceux-ci c’est dit pour dire qu’un
simple mot c’est le mot : « Je vous aime »].
-
La Synecdoque (féminin) : c’est une figure de style qui
consiste à évoquer le référent par plus petit ou par plus grand que lui.
Exemple 1 : une voile
pour un navire.
Exemple 2 : la France
pour l’équipe de France.
-
La Métonymie (féminin) : c’est une figure de style qui consiste à
exprimer un concept au moyen d’un terme désignant un autre concept qui lui est
uni par une relation nécessaire (cause et effet ; inclusion ;
ressemblance ; etc …).
Exemple : viens chez
moi pour boire un verre.
Dans cet exemple, on voit que
l’auteur a dit : « boire un verre » ; on sait plus de quoi
s’agit-il ? Mais, tant qu’on a dit le mot « Verre », cela donne
an avant une idée sur le contenu d’objet ; on peut dire que le verre peut
contenu plusieurs boissons comme : le thé, le café, le vin, etc … A ce
moment-ci, on va dire que le verre contient ces boissons et sans préciser le
contenu du verre, on utilise le mot en soi-même sans parler de son
contexte.
A Suivre ...
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